Héritage de la pandémie, les procès virtuels deviendront désormais l’exception pour plusieurs causes à la Cour supérieure. Celle-ci imposera davantage de procès dans les salles de cour civile, estimant que l’expérience du virtuel peut parfois nuire à la conclusion de règlements. La décision est toutefois contestée par de nombreux avocats, qui déplorent la perte d’un gain de temps.
« En virtuel, les interactions sont plus difficiles et, par conséquent, il devient plus ardu pour les juges de gérer adéquatement la salle d’audience », constate la porte-parole des Tribunaux du Québec, Caroline St-Pierre. « Dans certains dossiers, par exemple les ordonnances de sauvegarde en matière familiale, la distance nuit donc au déroulement des audiences, et cela fait en sorte qu’elles sont moins productives. »
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