Une députée de Sherbrooke est consciente du fait qu'elle devient un personnage public susceptible de faire l'objet de critiques, parfois virulentes. C'est ce qui se produit alors qu’un homme commence à lui envoyer des courriels. La plaignante laisse aller jusqu'au moment où l'accusé fait référence à ses enfants. Elle considère qu'à ce moment, l'accusé franchit une ligne qu'il n'aurait pas dû franchir.
Elle porte plainte. Des accusations de communications harcelantes et de harcèlement criminel sont ultérieurement portées contre l'accusé. À son procès, celui-ci invoque son droit à la liberté d'expression et, donc, son droit de critiquer une personnalité publique. Résumé de l’affaire.
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