De nombreux Québécois rédigent ce que l’on appelle un testament olographe, c’est-à-dire un document entièrement écrit et signé à la main.
C’est la forme la plus simple du testament, mais on y retrouve des erreurs huit fois sur dix, estime le notaire Michel Beauchamp, spécialisé dans la liquidation des successions et chargé de cours à la Faculté de droit de l’Université de Montréal.
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