La vente au détail de psilocybine, mieux connue sous le nom de « champignons magiques », fait couler beaucoup d’encre au Canada ces derniers temps. Forcément, les employeurs sont de plus en plus nombreux à s’interroger sur la voie à prendre en cas de consommation ou de simple possession de psilocybine sur les lieux de travail.
Il peut être difficile pour les employeurs canadiens de bien appréhender l’incidence d’une consommation grandissante de champignons magiques, voire de réussir à la déceler. Afin d’y voir plus clair, on fournit la réponse à cinq questions que se posent des employeurs de partout au Canada sur le sujet.
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