Dans une décision récente, le Tribunal administratif du travail (le «Tribunal») a conclu que la surveillance excessive d’un employeur au moyen de caméras de sécurité était une atteinte à la dignité et l’intégrité de ses employés, accueillant par le fait même leurs plaintes pour harcèlement psychologique.
Deux employés d’un magasin au détail reprochent à leur employeur d’exercer une vidéosurveillance excessive menant à des interventions inappropriées. Ils déposent une plainte de harcèlement psychologique en vertu de l’article 123.6 de la Loi sur les normes du travail. Analyse de l’affaire.
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